blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

HARM'Annie

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Pour allier bien-être, détente, découverte, un temps pour et rien qu'à Soi, en confiance et respect...
Par une praticie

Pour allier bien-être, détente, découverte, un temps pour et rien qu'à Soi, en confiance et respect... Par une praticienne en Massages de Bien-Etre sur Paulhan (34) après une formation certifiante de plus de 2 ans. Création de mon Auto-entreprise le 29-6-12

Blog dans la catégorie :
Voyages

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

HARM'Annie

Poèmes choisis : Vis maintenant...

 

 

Vis maintenant !

 

Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait trouver grâce à ses yeux.

Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements ou qui ne parle jamais à un inconnu.

Il meurt lentement celui qui évite la passion et son tourbillon d’émotions, celles qui redonnent la lumière dans les yeux et réparent les cœurs blessés.

"Vis maintenant ! Risque-toi aujourd’hui ! Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement ! Ne te prive pas d’être heureux !"



Poème de Pablo Neruda ( Chili )

 

 

Pensées... 7

 

 

 

 


 

La vieillesse est comparable à l'ascension d'une montagne.

Plus on monte, plus on est fatigué et hors d'haleine, mais plus notre vision s'élargit.

 

Igmar Bergman

 

**** °§°****

 

L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.

 

Aristote

 

**** °§°****

 

Quand j'étais petit, ma mère me disait toujours que le bonheur était la clé de la vie.

Un jour, à l'école, on me demanda ce que je voulais devenir plus tard.

Alors j'ai écrit "heureux".

Ils m'ont dit que je ne comprenais pas la consigne...

Je leur ai répondu qu'ils ne comprenaient pas la vie"  

 

Anonyme

 

**** °§°****

 

Mon Dieu, donnez-moi assez de Sérénité

pour accepter ce qui ne peut être changé. 

 

Mon Dieu, donnez-moi assez de Courage

pour changer ce qui peut l'être.

 

Mon Dieu, donnez-moi assez de Sagesse

pour discerner l'un de l'autre...
 

Marc Aurèle ou Chesterton (?)

 

**** °§°****

 

Une mauvaise herbe est une plante dont on n’a pas encore trouvé les vertus. 

 

Ralph Waldo Emerson

 

**** °§°****

 

La vraie découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages

mais à changer de regard.

 

Marcel Proust

 

**** °§°****

 

 

Belle histoire : Churchill...

 

 

Churchill et la pénicilline...

 

 

On raconte l’histoire d’un homme qui s'appelait Fleming, et qui était un pauvre fermier écossais. Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant d'un marécage proche. Il laissa tomber ses outils, y courut et y trouva un jeune garçon enfoncé jusqu'à la taille dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer. Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.

Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme. Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé. 
- Je veux vous récompenser, dit le noble. Vous avez sauvé la vie de mon fils. 
- Non, je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait, répondit le fermier écossais.

A ce moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane. 
- C'est votre fils, demanda le noble. 
- Oui, répondit fièrement le fermier. 
- Je vous propose un marché. Permettez-moi d'offrir à votre fils la même éducation qu'au mien. Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu'il sera un homme duquel tous deux seront fiers.

Et le fermier accepta. Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et au final, fut diplômé de l'École de Médecine de l'Hôpital Sainte-Marie de Londres. Il continua jusqu'à être connu du monde entier. Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline.

Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage avait une pneumonie. Qui lui sauva la vie cette fois ? La pénicilline. Comment s'appelait le noble ? Sir Randolph Churchill. Qui était son fils ? Sir Winston Churchill.

Il s’agit bien sûr d’une légende, mais cette petite histoire nous rappelle les valeurs essentielles de l’amitié et de l’altruisme.

Même si ce n'est pas la journée internationale de l'amitié, envoie quand même ce message à tous ceux que tu considères comme tes amis. Il ne se passera rien si tu ne le fais pas. Mais si tu le fais, quelqu'un sourira grâce à toi.

 

Anonyme

 

Belle histoire : Un geste amical...

 

 

 

Un jour, alors que j'étais en première année du secondaire, j'ai vu un gars de ma classe marcher pour retourner chez lui après l'école. Il s’appelait Maurice. Il semblait transporter tous, mais vraiment tous ses livres. Je me suis dit : 
- Qui peut bien ramener tous ses livres chez lui, un vendredi ? Il doit être idiot !

J'avais un week-end très chargé avec mes amis. Donc, je haussai les épaules et continuai mon chemin. Tout en marchant, j'ai vu une bande de jeunes courir vers Maurice. Ils l'ont rejoint, lui ont fait tomber tous ses livres. Ils lui ont fait perdre l'équilibre et il est tombé dans la boue, perdant ses lunettes. Ces dernières sont tombées à environ 3 mètres de lui. Maurice s'est relevé tranquillement et j'ai pu voir la terrible tristesse dans ses yeux. J'ai senti mon coeur se serrer et j'avais un noeud dans la gorge.

J’ai donc couru le rejoindre. Il cherchait ses lunettes et j'ai vu une larme couler sur sa joue. J'ai ramassé ses lunettes et lui ai dit : 
- Ces gars là sont vraiment des cons de la pire espèce.  Ils devraient être punis pour ce qu'ils ont fait.

Il m'a regardé et m'a dit : 
- Ah, merci !

Il avait un large sourire sur les lèvres. C'était un de ces sourires qui vous montrent de la gratitude sincère.

Je l'ai aidé à ramasser ses livres et je lui ai demandé où il habitait. Je me suis rendu compte qu'on habitait dans la même rue. Alors, je lui ai demandé pourquoi je ne l'avais jamais vu avant : 
- C'est parce qu'avant j'allais dans une école privée.

Auparavant, je n'aurais jamais accepté de me compromettre avec quelqu'un qui fréquente l'école privée. Nous avons discuté sur tout le chemin du retour à la maison et j'ai transporté quelques uns de ses livres. Je me suis rendu compte qu'il était vraiment gentil. Je l'ai invité à venir jouer au foot avec mes amis le lendemain et il a accepté.

Nous avons donc passé le week-end ensemble. Plus j'apprenais à le connaître, plus je l'appréciais et mes amis aussi apprirent à l'aimer. Le lundi matin, sur le chemin de l'école, j'ai aperçu Maurice, encore une fois avec tous ses livres en main. Je l'ai rejoint et lui ai demandé : 
- Wouah, tu vas te faire des super muscles à transporter tous tes livres comme ça chaque jour ! 
Il m'a souri et m'a donné la moitié de ses livres. Maurice et moi sommes devenu les meilleurs amis du monde.

Quelques années plus tard, nous avions terminé le secondaire et on planifiait nos études universitaires. Maurice, le plus fort de la classe, se dirigeait pour des études de médecine et moi, pour du sport-étude en football. Il était un de ceux qui s'étaient trouvés et affirmés pendant le secondaire. Il avait pris sa place et paraissait très bien. Il avait maintenant plus de rendez-vous que moi avec les filles. Elles l'aimaient et j’étais un peu jaloux !

Avant de se quitter, nous nous sommes tous retrouvés, élèves, enseignants et parents. Il avait préparé un petit discours mais il en était très nerveux. Je lui ai donné une tape d'encouragement dans le dos et lui ai dit : 
- Hé, le grand, tu vas être parfait !

Il m'a regardé et m'a lancé un de ces regards (vraiment sincère) et m'a dit : 
- Merci !

Il a commencé son discours, s'est arrêté pour éclaircir la voix puis a lancé : 
- C'est un moment qui se prête bien pour remercier ceux qui vous ont aidé à passer au travers des moments difficiles : parents, professeurs etc. et plus particulièrement les amis. Je suis ici pour vous dire qu’être l'ami de quelqu'un, c'est lui donner le plus beau des cadeaux. Je vais vous raconter une histoire à ce sujet.

J'ai regardé Maurice avec stupéfaction lorsqu'il raconta la première journée où on s'était connu. Il avait planifié de se suicider ce week-end là. Il raconta qu'il avait vidé son casier pour éviter à sa mère d'avoir à le faire. Il m'a regardé droit dans les yeux et m'a souri : 
- Merci de m'avoir sauvé ! Mon ami m'a protégé et empêché de faire une énorme bêtise !

Tout le monde est resté bouche bée lorsque Maurice, le gars le plus beau et le plus populaire de l'école, a raconté ses souvenirs les plus tristes. J'ai aperçu ses parents en train de me regarder avec ce même sourire de gratitude que Maurice avait. C'est à ce moment que j'ai réalisé toute la tristesse qu'il avait ce jour où l'on s'était rencontré. Ce n'était pas seulement à cause des jeunes voyous.

Ne sous-estimez jamais le pouvoir de vos actions. Avec un petit geste, vous pouvez changer l'existence de quelqu'un, pour le meilleur ou pour le pire. Les ami(e)s sont des anges qui nous remettent sur nos pieds lorsque nos ailes ont de la peine à se souvenir comment voler.

 

Anonyme

 

 

Belle histoire : Dire son amour...

 

 

 

On raconte qu'un jour, une prof a demandé à ses élèves de noter le nom de tous leurs camarades de classe sur une feuille et de laisser un peu de place à côté de chaque nom. Puis, elle leur dit de penser à ce qu'ils pouvaient dire de plus gentil au sujet de chacun et de le noter à côté des noms. Cela pris toute une heure jusqu'à ce que tous aient fini et avant de quitter la salle de classe, les élèves remirent leur copie à la prof.

Le week-end, la prof écrivit le nom de chaque élève sur une feuille et à côté toutes les remarques gentilles que les autres avaient écrit au sujet de chacun. Le lundi, elle donna à chaque élève sa liste. Peu de temps après, tous souriaient : 
- " Vraiment ? ", entendait-on chuchoter... 
- " Je ne savais pas que j'avais de l'importance pour quelqu'un ! " 
- " Je ne savais pas que les autres m'aimaient tant ", étaient les commentaires que l'on entendait dans la salle de classe.

Personne ne parla plus jamais de cette liste. La prof ne savait pas si les élèves en avaient parlé entre eux ou avec leurs parents, mais cela n'avait pas d'importance. L'exercice avait rempli sa fonction. Les élèves étaient satisfaits d'eux-mêmes et des autres.

Quelques années plus tard, un élève tomba, mort au Vietnam et la prof alla à l'enterrement de cet élève. L'église était comble. Beaucoup d'amis étaient là. L'un après l'autre, ils s'approchèrent du cercueil pour lui adresser un dernier adieu. La prof alla en dernier et elle trembla devant le cercueil. Un des soldats présents lui demanda : 
- " Est-ce que vous étiez la prof de maths de Marc ? " 
Elle hocha la tête et dit : 
- " Oui. " 
Alors il lui dit : 
- " Marc a souvent parlé de vous. "

Après l'enterrement, la plupart des amis de Marc s'étaient réunis. Les parents de Marc étaient aussi là et ils attendaient impatiemment de pouvoir parler à la prof. 
- " Nous voulions vous montrer quelque chose. ", dit le père de Marc et il sortit son portefeuille de sa poche. " On a trouvé cela quand Marc est tombé à la guerre. Nous pensions que vous le reconnaîtriez..." 
Il sortit du portefeuille un papier très usé qui avait dû être recollé, déplié et replié très souvent.

Sans le regarder, la prof savait que c'était l'une des feuilles de la fameuse liste des élèves contenant beaucoup de gentilles remarques écrites à l'époque par les camarades de classe au sujet de Marc. 
- " Nous aimerions vous remercier pour ce que vous avez fait. " dit la mère de Marc. " Comme vous pouvez le constater, Marc a beaucoup apprécié ce geste.

Tous les anciens élèves se réunirent autour de la prof. 
- Charlie sourit et dit : " J'ai encore ma liste. Elle se trouve dans le premier tiroir de mon bureau." 
- La femme de Chuck dit : " Chuck m'a prié de la coller dans notre album de mariage. " 
- " Moi aussi, j'ai encore la mienne. " dit Marilyn. " Elle est dans mon journal intime. " 
- Puis, Vicky, une autre élève, prit son agenda et montra sa liste toute usée aux autres personnes présentes. " Je l'ai toujours avec moi, " dit-elle et elle ajouta : " Nous l'avons tous gardée. "

La prof était si émue qu'elle dut s'asseoir et elle pleura. Elle pleurait pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus jamais.

Dans le quotidien avec les autres, nous oublions trop souvent que toute vie s'arrête un jour et que nous ne savons pas quand ce jour arrivera. C'est pourquoi, il est important de dire aux personnes, que l'on aime et qui nous sont importantes, qu'elles sont particulières et importantes. Dis le leur avant qu'il ne soit trop tard.

Anonyme

 

 

Minibluff the card game

Hotels